Nombre de messages : 833 Age du personnage : 34 ans Bateau/Equipage : Le phare Le mot de la fin : à On ? Date d'inscription : 13/07/2010
Sujet: Narsèç Shernay [Validé] Sam 9 Juil - 18:24
Shernay
Narsèç
~ Identité ~
Nom : Shernay Prénom : Narsèç Surnom : Nar?
Age : 34 ans (25 d'apparence) Date de naissance : 09 mars
Sexe :Masculin Race : Vampirou
Orientation sexuelle :Les phares?
~ Myrajh ~
Travail à Myrajh : Gardien du phare Depuis combien de temps est-il sur l'île : Depuis 14 ans
~ Apparence ~
Physique : Comme la plupart de ses congénères « de l’ombre », Narsèç a la peau pâle et l’air maladif. Mieux que maladif, il est en réalité mort, et en excellente santé. A juger par les apparences, on dirait de lui qu’il n’a rien d’un pirate, et qu’il n’est pas fait pour la bataille. Sa petite carrure, son visage fragile et juvénile lui donnent une apparence innocente. Et c’est tant mieux. Cette fausse fragilité, Narsèç la conserve et l’entretient car c’est tout à son avantage. Malgré son teint pâle, le gardien passe énormément de temps en mer. Mais il ne sort que la nuit, pour allumer la lumière. Alors forcément, la peau bronzée, il ne connait pas.
Ses cheveux, d’une longueur inégale, hésitent entre un châtain passé et un blond vénitien. Sa coupe de cheveux, irrégulière au possible au moment de sa transformation, est depuis restée figée. Régulièrement, Narsèç les ajuste lorsqu’il sort en ville ou veut paraître élégant, mais le plus souvent il les attache en une queue de cheval un peu lâche, juste pour ne pas qu’ils l’embêtent.
Mais s’il n’a pas eu de chance pour sa coupe de cheveux, Nar en a eu d’avantage avec ses yeux. Auparavant d’un brun foncé tendant vers le noir, ils se sont éclaircis de quelques teintes lors de son passage à trépas. Et des yeux clairs, c’est toujours bien quand on veut paraître gentil et mignon. Manque de bol, Narsèç ne maîtrise pas à merveille le regard doux et chaleureux. Parfois ça marche, mais le plus souvent, ils sont aussi glacials que l’eau qui borde le Phare, malgré leur couleur chaude.
Style vestimentaire : Lorsqu’il est seul sur son phare, Narsèç n’a absolument aucun style vestimentaire. De là à dire qu’il s’y promène nu, il n’y a qu’un pas, que je ne franchirais sous aucun prétexte. Non, Narsèç va toujours habillé, parce qu’il n’aime tout simplement pas la sensation de se promener nu, et aussi qu’il est suffisamment pudique pour craindre l’apparition soudaine d’un étranger dans son phare. Mais dire qu’il n’a absolument aucun style vestimentaire signifie qu’il peut porter à peu près n’importe quoi, du moment que les coutures tiennent encore à peu près. Des débris de chemises et de bas font la plupart de ses tenues.
En ville, il essaye avec plus de bonne volonté de s’habiller relativement convenablement, c’est-à-dire avec des vêtements sans trop de taches et de déchirures.
Signe particulier : Une longue cicatrice sur la cuisse droite.
~ Psychologie ~
Caractère : Son caractère peut poser les mêmes interrogations que le concept de la poule et de l’œuf. A savoir, était-il misanthrope avant d’aller s’exiler sur le phare, ou est-ce l’exil sur le phare qui l’a rendu misanthrope ? Toujours est-il que plus que tout, Narsèç apprécie la solitude, le silence et le bruit de l’océan. Mais puisque son caractère tout seul n’intéressera pas grand monde, on va passer directement à son comportement grégaire.
Il a le plus souvent des réactions surprenantes en groupe. C’est que le gardien de phare est un gros prédateur qui a peur de ses proies. Autrement dit, les relations sociales lui font peur, et nous ne parlerons pas de la foule. Mais paradoxalement, Narsèç apprécie de se retrouver dans les bars de Myrajh, de boire jusqu’à l’oubli et de faire des plans sur la comète avec des inconnus. La rareté de ses passages à terre les rend précieux et supportables.
Lorsqu’il rentre, généralement, il est tout d’abord très réservé, puis étonnement dévergondé, traînant de bar en bar et de conquête en conquête, comme pour rattraper le temps perdu. De ses longs instants de solitude, exilé sur sa tour,Nar semble parfois avoir oublié comment se comporter en société. Nous ne parlons pas ici des bonnes manières, mais simplement de l’art de converser, de ne pas sauter sur les gens, et de ne pas simplement les agresser sans raison. Le gardien de phare est d’ailleurs régulièrement acteur des bastons aillant lieu dans la taverne, et ce même s’il peut paraître réservé par moments. On l’aura compris, Nar est quelqu’un d’extrêmement lunatique. Calme comme une mer plate, et l’instant d’après déchaîné, il change d’avis plus souvent qu’il ne change de chemise (malheureusement pour les chemises…). Ne vous attendez pas à tout comprendre de lui au premier rendez-vous, car c’est un peu la pluie ou le beau temps, selon les jours, une humeur imprévisible autant que surprenante. Cependant, à part dans les bars, et à part pendant les bastons, Narsèç n’est pas quelqu’un de très démonstratif. S’il le semble un peu trop, méfiez-vous.
Aime : La solitude, par-dessus tout. Narsèç aime entendre le bruit de l’océan, le contempler pendant des heures, assis à son poste, et ne rien faire d’autre, ne penser à rien d’autre. Et très paradoxalement, il adore les moments passés dans les bars, au casino, à jouer et à boire jusqu’à plus soif, à rencontrer des personnes qu’il ne reverra jamais, et à s’oublier avec ou sans eux. Mais c’est parce que ces moments restent absolument exceptionnels qu’il les aime, en réalité. Il aime beaucoup la vie de couple, mais se lasse très rapidement. Aime pas : Il semblerait que ce que le gardien de phare ait en horreur soit avant tout l’absence prolongée de solitude, et la foule, sauf à des moments très précis et lorsqu’il l’a décidé. Ce qu’il déteste aussi, c’est qu’on interrompe ses moments de solitude, qu’on l’interrompe en pleine contemplation de l’océan. Loisirs : Dans son phare, ses loisirs se limitent essentiellement à regarder l’océan pendant des heures, à rallumer la flamme lorsqu’elle s’éteint, et parfois à peindre l’océan. Ses journées suivent un rythme aussi particulier que lent, et ça lui correspond. A terre, ses loisirs de sortie ont déjà été énumérés. Talents : Savoir rester seul …
~ Sociabilité ~
Famille : Le phare. Amis : Les poissons ? Collègues : Les bateaux Ennemis : Les empêcheurs de tourner en rond. Amour : Mon seul et unique amour est l’océan […]
Dernière édition par Narsèç Shernay le Sam 13 Aoû - 0:04, édité 2 fois
Narsèç Shernay
Traquenar-Sèç
Nombre de messages : 833 Age du personnage : 34 ans Bateau/Equipage : Le phare Le mot de la fin : à On ? Date d'inscription : 13/07/2010
Sujet: Re: Narsèç Shernay [Validé] Sam 13 Aoû - 0:03
~ Histoire ~
« Hé, pschhht, t’approches pas du phare, il paraît qu’il est hanté »
Le phare, à l’extérieur de la ville et sur la côte la plus abrupte de l’île, est depuis quelques années sujet aux rumeurs les plus folles. Narsèç s’en moque bien, comme il se moque du reste. Les on-dit ne lui font pas d’ombre. Quand au halo de mystère qui règne autour de lui, il l’apprécie à sa juste valeur et s’accorde à merveille avec les brumes permanentes qui entourent son phare. Après tout, on ne peut pas dire que leurs rumeurs soient infondées.
Fils de pêcheurs, Narsèç a eu une enfance on ne peut plus ordinaire, rien qui ne le prédestinait à devenir ce qu’il est. Mais à moins de profondes fouilles psychologiques, on trouve rarement de causes aux cas comme lui. C’est sur une île des Caraïbes à peine plus grande que Myrajh qu’il est né, qu’il a grandi et qu’il a appris à pêcher le poisson. Quand ses amis d’enfance rêvaient de rejoindre le royaume d’Angleterre ou de gagner la haute société, il rêvait de tour du monde, de traversées en solitaire sur l’océan, de marins d’eau agitée.
Si les rêves de beaucoup s’effacent en grandissant, ceux de Narsèç ne devinrent que plus forts. Il faut dire qu’il n’était pas une image de sociabilité. L’adolescent se plaisait bien plus en pleine mer, entouré de personne sinon des poissons frétillants qu’il venait de pêcher, qu’à terre, lors d’interminables réunions de famille ou d’après-midi avec ses amis.
Il n’hésita pas longtemps lorsqu’un trois-mâts se présenta un beau matin dans le petit port de l’île de Montserrat. Narsèç avait alors tout juste dix-neuf ans, la fougue de la jeunesse et l’impertinence qui va avec. Le navire recherchait un équipage et promettait les plus beaux trésors de la mer. L’adolescent partit en promettant à ses parents de revenir couvert d’or. Ils ne cherchèrent pas bien longtemps à le retenir, résignés depuis longtemps face au caractère particulier de leur fils ainé.
C’était un fameux trois mâts,[…]. Un bateau à la fière allure, qui portait le nom de l’Hirondelle Blanche. Un bien joli patronyme pour un navire de pirates. Ce n’est qu’une fois à bord que Narsèç se rendit compte qu’il avait embarqué du mauvais côté de la force. A bord de l’Hirondelle, point d’honnêtes marins, encore moins de marchands. Juste une joyeuse bande de pirates avides de trésors, venus tenter leur chance dans les eaux des Caraïbes. L’adolescent ne fit pas marche arrière. En pleine mer, c’aurait été difficile. Ils étaient plusieurs jeunes comme lui, et ils décidèrent de se tenir courage les uns les autres.
Comme tous les jeunes du bateau, Narsèç écopa des taches pénibles. Récurage du pont, des cabines, du stock, réparation des bouts cassés. Il se chargeait aussi de temps à autre des repas sur le navire. C’est en entretenant le stock jour après jour qu’il se rendit compte qu’il maigrissait sérieusement. Les pirates n’avaient visiblement pas emmené suffisamment de vivres, et la pêche en ces bas fonds était infructueuse. Plusieurs des mousses firent remonter la nouvelle au capitaine, un homme se faisant appeler Ancre Blanche. C’était un homme terrorisant, qui jouait avec l’image tyrannique qu’il donnait de lui sur son navire. De ses cheveux blancs et de ses tenues fantomatiques venaient sans doute son nom de pirate et celui de son navire. Tous ses hommes étaient à ses bottes, et les mousses cherchaient en général à l’éviter plutôt que de devoir le croiser. Loin de s’inquiéter de la chute de son stock de vivres, le capitaine envoya au cachot les malheureux qui lui firent parvenir la nouvelle. Personne ne les revit. Personne ne revit non plus l’homme qui se chargeait de raccommoder les voiles abimées.
Le second du capitaine, Lionel, avait l’étoffe de son père. Voix qui porte, allure imposante, cheveux blancs comme la lune, regard de braise. Narsèç avait d’abord fait partie de ceux qui le craignaient comme ils craignaient le père. Mais pour une raison que Narsèç ignorait, celui-ci se prit rapidement de sympathie pour lui, et le somma de perdre cet air effrayé à chacune de leurs entrevues. Lionel était à peine plus âgé que Narsèç à l’époque. Et le moins qu’on puisse dire de lui, c’est que c’était un homme plein de contraste. Son allure était effrayante, mais il était en réalité le plus inoffensif des pirates. Il avait peur de son père, peur de la mer, peur des trésors, et peur d’à peu près tout. Sans le vouloir, Narsèç devint son confident sur le bateau. Il s’habitua à sa présence et à le voir le retrouver tous les soirs, une fois la journée de travail finie. La nouvelle concernant le stock de vivres passa par lui également, mais Lionel affirma que son père le savait et qu’il ne fallait pas s’en inquiéter.
Il ne restait de vivres que pour une petite semaine lorsque le bateau fut attaqué un soir, en pleine mer. Des corsaires qui croisaient leur chemin et se faisaient un devoir d’éliminer le plus de pirates possibles. Pour la tâche, ils étaient bien équipés. Canons dernier cri, canonniers à la demande, armes efficaces et plusieurs centaines de mousses prêts à laisser leur vie dans le combat. Ce fut un carnage sans nom. La moitié de l’équipage de l’Hirondelle est passa sous leurs lames, une autre partie fut décimée par les canons. Le bateau aussi en prit pour son grade. Le mat succomba aux boulets, les voiles prirent feu. Lorsque le bâtiment des corsaires s’éloigna, il ne restait de l’Hirondelle que trois pauvres pirates sur des planches de bois.
Narsèç manqua de perdre la vie lors de l’attaque. Comme la moitié de l’équipage, il finit le combat avec une épée plantée dans l’abdomen. Il aurait coulé comme les autres si Lionel ne l’avait pas récupéré. Le fils du capitaine choisit ce morceau de la soirée pour raconter à son nouveau confident son plus lourd secret. Lui et son père étaient des vampires, et la raison pour laquelle il y avait si peu de vivres était qu’ils se nourrissaient régulièrement des membres de l’équipage, si bien qu’ils n’avaient besoin que de peu de nourriture. Entre la vie et la mort, Narsèç ne prêta presque pas d’attention au récit de Lionel. Il avait perdu suffisamment de sang pour être sujet aux pires hallucinations. Son attention ne fut attirée que lorsque Lionel se pencha au dessus de lui et le mordit en plein dans le cou.
Lorsque Narsèç reprit connaissance, ils étaient toujours à la dérive, et le soleil lui brûlait les yeux et la peau. Ils étaient trois sur les quelques planches. Lionel, lui et un mec pas franchement au meilleur de sa forme. A vrai dire, il était peut-être même mort. Patiemment, Lionel lui apprit tout sur les vampires, et à force de persuasion Narsèç finit par le croire. Il faut dire que, persuasion ou non, les canines pointues dans sa bouche étaient une réalité, tout comme l’était sa soudaine intolérance au soleil, et ne parlons pas de cette faim malsaine qui lui déformait l’estomac. C’est le moment que Lionel choisit pour lui présenter leur troisième compagnon de bord, un mec mort depuis quelques heures, qu’il avait repêché pour qu’il serve de repas à Narsèç.
Non sans réticence, comme la plupart des nouveaux vampires, Narsèç découvrit le goût du sang. Et même si celui-ci était mort et déjà froid, il se surprit à apprécier ce goût âpre qu’il aurait plus tôt trouvé infâme.
Il fallut encore deux jours à leur rafiot improvisé pour toucher terre. Une terre du nom de Myrajh. Lionel et Narsèç passèrent quelques jours ensemble sur l’île, logeant à l’auberge et se nourrissant des poivrots du coin. Pas de recensement, pas d’autorité, Myrajh était l’île parfaite pour de jeunes vampires voulant assouvir leur soif. Rapidement, Narsèç décida d’y élire domicile. La vie de pirate n’était pas faite pour lui et ses envies de tour du monde avaient été sévèrement freinées par leur désastreuse aventure. Lionel, au contraire, songea très rapidement à reprendre la mer. Persuadé que son père était en vie, il voulait avant tout le retrouver, parce que même s’il en avait peur, la famille c’est sacré.
Après de longues disputes, ils décidèrent de se séparer l’un l’autre, incapables de se convaincre par leurs arguments respectifs. Lionel trouva une embarcation pour retourner sur les flots, tandis que Narsèç se mit à errer sur l’île. Sa naïveté avait été sévèrement ébréchée par le combat contre les corsaires et les révélations de Lionel. Néanmoins, seul sur l’île, il se mit à déambuler n’importe où et à traîner dans tous les bars de l’île, acceptant tout et n’importe quoi pour gagner des sous et payer l’auberge.
C’est ainsi qu’il suivit le gardien du phare, un homme d’une quarantaine d’années rongé par la solitude. Il venait de perdre son compagnon de travail, et s’en allait dans la ville en chercher un nouveau. Mais Narsèç ne vint pas pour le travail. Il le suivit après une soirée bien arrosée, dans le but de finir joyeusement la soirée. Une bonne partie de jambes en l’air, et un repas pour le petit vampire. Le gardien de phare était une bonne victime. Isolé, seul, personne ne le connaissait et personne ne remarquerait sa disparition.
Ce n’est qu’une fois le gardien de phare allé ad patres, et par-dessus la rambarde du phare, que Narsèç se rendit compte que ça n’était pas une si bonne victime. A présent, il n’y avait plus personne pour s’occuper du feu du phare. Alors il décida de prendre le relais, pesant les pours et les contres. Narsèç n’avait jamais aimé la compagnie à forte dose. Le phare, c’était la bonne planque. Ici, personne ne l’embêterait et il pourrait emmener ses victimes en toute tranquillité.
Voilà déjà dix ans qu’il occupe ce poste, et il lui convient toujours à merveille. Ses besoins sociaux sont comblés par les victimes de passage qu’il tue lorsque la solitude veut reprendre sa place et que la faim se fait sentir, et ses besoins vitaux sont comblés de la même manière. Que demander de mieux ?
~ Hors Rpg ~
Toi : ton nom/surnom : Lyc Depuis combien de temps fais-tu du RPG : Je sais plus (La mémoire…) Ton niveau : Bac +3 o/ (oui, je suis fière) Ta disponibilité pour le forum : Ca serait con que je ne sois pas disponible quand même '_' Comment as-tu connu Myrajh ? : C’est mon bébé.
Et hop, une histoire bâclée mais ENFIN finie o/
Gwindel Nicholas
Dragon du vieux Continent
Nombre de messages : 893 Age : 38 Age du personnage : 327 ans et toutes ses dents ! Dont deux plus grandes. Date d'inscription : 15/07/2011
ID Card Liste des RPG en cours: Relations du personnage:
Sujet: Re: Narsèç Shernay [Validé] Sam 13 Aoû - 0:27
Ouaaais, il était temps !
Et une fiche qui va bien, une o/
Invité
Invité
Sujet: Re: Narsèç Shernay [Validé] Sam 13 Aoû - 0:44
Et un Admin qui roule ! Félicitation tu montre le bon exemple ! (Quoi Moi ? oui j'arrête de m'éparpiller et je vais me plancher sur MA fiche d'accord, d'accord :/)
Narsèç Shernay
Traquenar-Sèç
Nombre de messages : 833 Age du personnage : 34 ans Bateau/Equipage : Le phare Le mot de la fin : à On ? Date d'inscription : 13/07/2010
Sujet: Re: Narsèç Shernay [Validé] Sam 13 Aoû - 0:48
Bah... j'ai fini par le montrer le bon exemple
Invité
Invité
Sujet: Re: Narsèç Shernay [Validé] Sam 13 Aoû - 0:52
Bah y faut bien que ça arrive un jour !
Mais je comprend, la pression tout ça... Regarde moi sur un fo' je suis admin (Avec les droits mais pas le rangs ! Yeah !) je valide des fiches et tout et tout mais j'ai toujours pas fini ma fiche !
(Mince maintenant mon frère est sur le forum j'espère qu'il va pas voir ça sinon j'vais m'faire taper sur les doigts moi !)
Narsèç Shernay
Traquenar-Sèç
Nombre de messages : 833 Age du personnage : 34 ans Bateau/Equipage : Le phare Le mot de la fin : à On ? Date d'inscription : 13/07/2010
Sujet: Re: Narsèç Shernay [Validé] Sam 13 Aoû - 0:54
Non mais faut pas croire, l'administration de Myrajh ça prend du temps XD
Il est temps de prendre des bonnes résolutions comme moi alors. Aux fiches, camarade o/